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Le journal d’autoformation a été réalisé dans le cadre du cours TEN-7015 : Développement de systèmes de formation dispensé par madame Rokhy Diongue. Ce projet s’est déroulé au début de la session d’automne 2024. Vous pouvez consulter la version finale du journal en cliquant sur le titre de cette page.

Projet

Le journal d’autoformation présente mon processus d’autoformation de cinq outils de création et de développement. Par l’entremise du logiciel Articulate Rise, je présente une explication critique et détaillée de mon autodéveloppement, de mes connaissances et de mes compétences techniques, de mes défis et des solutions trouvées ainsi qu’une liste des ressources consultées pour chacun des outils de création sélectionnés.

 

Deux logiciels étaient obligatoires, soit Articulate Rise et Articulate Storyline, alors que les trois autres étaient au choix. J’ai sélectionné Renderforest comme logiciel alimenté par l’intelligence artificielle pour faire la création de la vidéo pour notre projet Pitch du projet de formation mobile, Camtasia pour la création et l’édition de vidéo ainsi qu’Adobe Illustrator pour la création et la modification d’image et d’animation. Notez qu’avant de commencer ce projet, je n’avais aucune connaissance ou compétence préalable à l’égard des trois derniers logiciels.

 

En ce qui a trait aux logiciels de la suite Articulate, il importe de mentionner que j’avais déjà des connaissances et des compétences techniques. Je travaille avec Storyline tous les jours, alors j’ai décidé d’approfondir mes connaissances et mes compétences en ce qui concerne l’utilisation des variables et des conditions pour créer des déclencheurs complexes. Pour ce qui est de Rise, je le connaissais que brièvement, alors j’ai décidé de créer l’entièreté de mon journal d’autoformation dans le logiciel afin de me permettre d’explorer en profondeur la création d’un cours, et ce, du début jusqu’à sa publication.

Réflexion

Le projet Journal d’autoformation a été un projet super intéressant, mais pour lequel j’avais peu de motivation à commencer, en raison de son ampleur. Je ne savais pas par où commencer. Le premier défi que j’ai rencontré a été celui de sélectionner les logiciels que j’avais envie d’explorer. Il existe tellement d’outils de création et de développement pertinent sur le marché que de m’arrêter à cinq était difficile. Pour contrer cette difficulté, je me suis posé la question suivante : « quels sont les outils ou les fonctionnalités de certains outils dont j’ai besoin dans mon quotidien en tant que conceptrice de formation? » De là, j’ai ressorti une liste de logiciels et de fonctionnalités à explorer.

 

Le deuxième défi a été de commencer le projet. J’avais trop d’idée en tête et je voulais être le plus créative possible. Toutefois, je me suis rendu compte que j’allais mettre beaucoup de temps sur la présentation du projet alors que l’objectif du journal était de s’autoformer sur les cinq outils de création et de développement. J’ai donc sélectionné l’outil le plus pertinent, Rise, pour présenter mon journal et en faire mon artefact.

 

Le troisième défi a été en lien avec l’utilisation d’un des outils choisis, Adobe Illustrator. Je vous invite à lire mon journal pour en apprendre plus sur ma démarche d’autoformation, mais, en résumé, j’ai trouvé cet outil vraiment difficile à utiliser, et ce, même après plusieurs tutoriels. J’ai vite réalisé que c’est un outil super pertinent pour les gens qui ont déjà des bases en design graphique, mais que, pour mes besoins (modifier des images, créer/ajouter des animations, etc.), ce n’était pas le logiciel approprié.

 

Je dois dire qu’en fin de compte, j’ai vraiment aimé réaliser ce projet. Il m’a donné l’occasion de découvrir des outils très intéressants et de les étudier et de les expérimenter en profondeur, ce que je n’aurais pas pris le temps de faire en dehors de ce projet. Mon outil coup de cœur a été celui de Renderforest, dans lequel nous avons réalisé la vidéo du Pitch du projet de formation mobile avec l’aide de l’intelligence artificielle. L’outil a bien des limites, mais les possibilités et la qualité du rendu est assez incroyable. De plus, le journal d’autoformation m’a enfin permis de prendre le temps de me former sur les variables et les conditions dans l’utilisation des déclencheurs dans Storyline. C’est un outil que j’utilise tous les jours dans le cadre de mon travail, et avec ce que j’ai appris, ça me facilite grandement la tâche.

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